Epilogue


Etre et avoir été ! Nos aïeux ont vécu tout cela et bien d'autres choses encore et encore à venir, mais c'est une autre histoire…

Ils nous en ont livré une partie, ce qu'ils ont bien voulu nous dévoiler.

Alors, à l'évocation de leurs souvenirs, n'oublions pas qu'ils nous ont ouvert des voies.

Et posons-nous la question :
Serions-nous libres aujourd'hui ?
Aurions-nous gardé notre spécificité et notre identité culturelle française ?
Aussi regardons-les. Ecoutons-les. Ils nous racontent.

Ne soyons pas indifférents à leur message de dignité, d'amour et d'espoir.
Ils détiennent la sagesse, la connaissance d'une expérience terrifiante mais pleine d'enseignements qu'ils cherchent à nous faire partager.

Prenons le temps de nous arrêter sur eux, de nous émouvoir et de découvrir leurs mémoires encore si vives.

Laissons l'Abbé Boyer avoir le mot de la fin :
“Vous savez, quand vous gravissez une colline ou une montagne, plus haut vous montez, plus le paysage est vaste. Et bien moi, plus je monte, plus je découvre la somme de mon ignorance… On en apprend tous les jours… Il faut qu’il y ait une mémoire pour que toutes ces histoires-là ne recommencent plus.”


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